Diagnostic positif
L’examen clinique reste l’élément essentiel pour le diagnostic, la symptomatologie respiratoire domine le tableau par la toux, la tachypnée, le sifflement expiratoire le plus souvent audible, signes de lutte (tirage, battement des ails du nez…), le thorax est distendu, hyper-sonore témoignant de l’obstruction bronchiolaire.
Les signes peuvent être associés à: la fièvre, conjonctivite, otite moyenne aigue, rhinopharyngite, troubles digestifs (ballonnement…), chez le nouveau-né, la symptomatologie est atypique.
La chronologie des symptômes est assez typique, ainsi la BA commence par une simple rhinite avec une toux sèche et un fébricule puis s’installe progressivement la gêne respiratoire avec le wheezing, enfin, survient la troisième phase ou l’encombrement bronchique prédomine.
La radiographie thoracique face montre habituellement la diffusion de l’atteinte, l’association variable d’opacités de nature bronchique, alvéolaire, interstitielle, les champs pulmonaires sont globalement distendus et hyperclairs, un aplatissement des coupoles diaphragmatiques, un élargissement des espaces inter costaux et rétrécissement du médiastin.
La gazométrie est indispensable pour juger la sévérité de l’atteinte, à défaut, la saturation en oxygène transcutanée est souhaitable pour la surveillance.
La NFS: l’hyperleucocytose est très inconstante, témoignant enfin de la surinfection bactérienne.
La CRP: très augmentée, elle serait en faveur d’une surinfection bactérienne.
Diagnostic différentiel
D’autre affections peuvent simuler une bronchiolite entre autre, une tuberculose, une pneumopathie d’inhalation.
Les pneumopathies infectieuses non virales (coqueluche, pneumopathie à Haemophilus, à pneumocoque, à Chlamydiae, à Mycoplasma), une micoviscidose, un corps étranger intra bronchique, une compression trachéale par un arc vasculaire, une malformation pulmonaire, une maladie extra pulmonaire ( cardiopathies congénitales, septicémie acidose métabolique sévère…).
Diagnostic étiologique
Le diagnostique étiologique a peut d’intérêt sauf dans les études épidémiologiques où il reste intéressant.
L’intérêt des dosages des anticorps spécifiques est réduit, l’isolement viral par culture des sécrétions est très lent et a peut d’intérêt, le dosage direct de l’acide nucléique viral par PCR reste réservé aux laboratoires de recherche.
Diagnostic de bronchiolite
Diagnostic positif
L’examen clinique reste l’élément essentiel pour bronchite aigue le diagnostic, la symptomatologie respiratoire domine le tableau par la toux, la tachypnée bronchite aigue, le sifflement expiratoire le plus souvent audible, signes de lutte (tirage, battement des ails du nez…), le thorax est distendu, hyper-sonore témoignant de l’obstruction bronchiolaire.
Les signes peuvent être associés à: la fièvre, conjonctivite, otite moyenne aigue, rhinopharyngite, troubles digestifs (ballonnement…), chez le nouveau-né, la symptomatologie est atypique bronchite aigue.
La chronologie des symptômes est assez typique, ainsi la BA commence par une simple rhinite avec une toux sèche et un fébricule puis s’installe progressivement la gêne respiratoire avec le wheezing, enfin, survient la troisième phase ou l’encombrement bronchique prédomine.
La radiographie thoracique face montre habituellement la diffusion de l’atteinte, l’association variable d’opacités de bronchite traitement nature bronchique, alvéolaire, interstitielle, les champs pulmonaires sont globalement distendus bronchite aigue et hyperclairs, un aplatissement des coupoles diaphragmatiques, un élargissement des espaces inter costaux et rétrécissement du médiastin.
La gazométrie est indispensable pour juger la sévérité de l’atteinte, à défaut, la saturation en oxygène transcutanée bronchite virale est souhaitable pour la surveillance.
La NFS: l’hyperleucocytose est très inconstante, témoignant enfin de la surinfection bactérienne.
La CRP: très augmentée bronchite traitement, elle serait en faveur d’une surinfection bactérienne.
Diagnostic différentiel
D’autre affections peuvent simuler une bronchiolite entre autre, une tuberculose, une pneumopathie d’inhalation.
bronchite aigue
Les pneumopathies infectieuses non virales (coqueluche, pneumopathie à Haemophilus, à pneumocoque, bronchite traitement à Chlamydiae bronchite aigue, à Mycoplasma), une micoviscidose, un corps étranger intra bronchique, une compression trachéale par un arc vasculaire, une malformation pulmonaire bronchite virale, une maladie extra pulmonaire ( cardiopathies congénitales, septicémie acidose métabolique sévère…).
Diagnostic étiologique
Le diagnostique étiologique a peut d’intérêt sauf dans les études épidémiologiques où il reste intéressant bronchite aigue.
L’intérêt bronchite aigue des dosages des anticorps spécifiques est réduit, l’isolement viral par culture des sécrétions est très lent et a peut d’intérêt, le dosage direct de l’acide nucléique viral par PCR reste réservé aux laboratoires de recherche bronchite traitement.