Les vitamines
Sans elles, le cerveau ne peut transformer les aliments en énergie, c’est à dire si elles sont d’une importance capitale.
On pense d’ailleurs aujourd'hui que certains malformations cérébrales chez l’enfant seraient dues à des carences en vitamines chez la mère en début de grossesse.
Le système nerveux est particulièrement sensible aux carences en vitamines du groupe B.
Ainsi, une carence en vitamine B1 (surtout présente dans la viande, fréquemment en cas de régime amaigrissant) peut être responsable de sérieuses dépressions.
Une carence en vitamine B6 (levure de bière, jambon) peut entraîner des troubles nerveux.
De son côté, la vitamine E (germe de blé, huiles végétales, foie) protège les cellules cérébrales du vieillissement : en manque, leur membrane se dégrade et elles meurent… La vitamine C (fruits et légumes) possède aussi des vertus insoupçonnées.
En effet, elle est stockée dans les neurotransmetteurs qui véhiculent les informations, et son apport plus ou moins important peut avoir une influence sur le quotient intellectuel.
Celui-ci progresse de quatre points lorsque la consommation de vitamine C augmente de 50%.
La vitamine D, elle est indispensable à la rapidité de réaction des neurones, on la trouve dans le thon, la sardine, le saumon.
Sans elles, le cerveau ne peut transformer les aliments en énergie, c’est à dire si elles sont d’une importance capitale.
On pense d’ailleurs aujourd'hui que certains malformations cérébrales chez l’enfant seraient dues à des carences en vitamines chez la mère en début de grossesse.
Le système nerveux est particulièrement sensible aux carences en vitamines du groupe B.
Ainsi, une carence en vitamine B1 (surtout présente dans la viande, fréquemment en cas de régime amaigrissant) peut être responsable de sérieuses dépressions.
Une carence en vitamine B6 (levure de bière, jambon) peut entraîner des troubles nerveux.
De son côté, la vitamine E (germe de blé, huiles végétales, foie) protège les cellules cérébrales du vieillissement : en manque, leur membrane se dégrade et elles meurent… La vitamine C (fruits et légumes) possède aussi des vertus insoupçonnées.
En effet, elle est stockée dans les neurotransmetteurs qui véhiculent les informations, et son apport plus ou moins important peut avoir une influence sur le quotient intellectuel.
Celui-ci progresse de quatre points lorsque la consommation de vitamine C augmente de 50%.
La vitamine D, elle est indispensable à la rapidité de réaction des neurones, on la trouve dans le thon, la sardine, le saumon.
Les oligo-éléments
Ils sont aussi plus importants, une étude britannique a montré que les enfants dyslexiques souffraient souvent de carence en zinc.
Et chez l’animal, on a prouvé que la carence en zinc diminue les facultés d’apprentissage.
Cet oligo-élément est présente dans les céréales complets, la viande, les crustacés et coquillages.
sans fer ( moules, boudin, cacao, levure), le siège de notre intelligence fonctionnerait au ralenti.
Sans cuivre (foie de veau ou de mouton), on peut être victime d’une retard intellectuel.
Inutile bien sûr d’avaler des tonnes de ces substances pour devenir un puits de science, mais en les mettant très régulièrement à votre menue, votre cerveau carburera à plein régime.
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