Comprendre les modifications métaboliques et endocriniennes
Sujet normal
Au cours de l’état nourri, l’énergie est stockée sous forme de glycogène dans le foie et dans le muscle et de lipides.
Au cours d’un jeûne de courte durée (8 à 12h) la glycémie reste constante grâce à la mobilisation du glucose à partir du glycogène hépatique puis à partir de la néoglucogenèse.
Après 12h de jeûne et jusqu’à 48h le rôle de la néoglucogenèse devient prépondérant.
Pendant ces périodes, le principal substrat énergétique utilisé par le cerveau est le glucose.
La baisse de l’insuline et l’augmentation de glucagon sont les modifications hormonales principales.
Après 16h de jeûne, la production des acides gras libres et des corps cétoniques augmente progressivement.
Diabète
Le diabète non insulino-dépendant comporte deux anomalies associées :résistance périphérique à l’insuline et anomalies de la sécrétion d’insuline.
La sécrétion d’insuline est conservée ou diminuée mais inappropriée.
Du point de vue métabolique, la glycémie est élevée par augmentation de la production hépatique et diminution de l’utilisation périphérique de glucose.
Association diabète et Ramadan
Les conséquences endocriniennes et métabolique se surajoutent et s’intriquent, elles sont variées et complexes.
Le diabète avec une insulinopénie absolue ou relative ressemble à un état de jeûne prolongé.
L’adaptation hormonale à l’excès d’apport de nutriments au cours de l’état nourri ou au déficit en nutriments de l’état de jeûne, est perturbée.
Le contrôle métabolique est sensible aux modifications importantes de l’apport alimentaire.
Sujet normal
Au cours de l’état nourri, l’énergie est stockée sous forme de glycogène dans le foie et dans le muscle et de lipides.
Au cours d’un jeûne de courte durée (8 à 12h) la glycémie reste constante grâce à la mobilisation du glucose à partir du glycogène hépatique puis à partir de la néoglucogenèse.
Après 12h de jeûne et jusqu’à 48h le rôle de la néoglucogenèse devient prépondérant.
Pendant ces périodes, le principal substrat énergétique utilisé par le cerveau est le glucose.
La baisse de l’insuline et l’augmentation de glucagon sont les modifications hormonales principales.
Après 16h de jeûne, la production des acides gras libres et des corps cétoniques augmente progressivement.
Diabète
Le diabète non insulino-dépendant comporte deux anomalies associées :résistance périphérique à l’insuline et anomalies de la sécrétion d’insuline.
La sécrétion d’insuline est conservée ou diminuée mais inappropriée.
Du point de vue métabolique, la glycémie est élevée par augmentation de la production hépatique et diminution de l’utilisation périphérique de glucose.
Association diabète et Ramadan
Les conséquences endocriniennes et métabolique se surajoutent et s’intriquent, elles sont variées et complexes.
Le diabète avec une insulinopénie absolue ou relative ressemble à un état de jeûne prolongé.
L’adaptation hormonale à l’excès d’apport de nutriments au cours de l’état nourri ou au déficit en nutriments de l’état de jeûne, est perturbée.
Le contrôle métabolique est sensible aux modifications importantes de l’apport alimentaire.
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