Dans un premier temps, l'important est d'apporter au malade l'oxygène qui lui manque. On peut y parvenir en lui faisant simplement respirer de l'oxygène à l'aide d'un masque.
Parfois, pour assurer une meilleure oxygénation du sang, on oblige le sujet à respirer sous pression, par la bouche, à l'aide d'un respirateur spécial.
Ce n'est généralement possible que dans une structure hospitalière ou en service de réanimation.
Au stade supérieur, il faut le faire respirer avec un ventilateur artificiel, parfois, une sonde doit être mise en place dans la trachée (intubation endotrachéale).
Ces techniques utilisables grâce à des respirateurs de plus en plus performants, sont cependant retardées autant que faire se peut par le médecin car le patient devient très vite dépendant de la machine (respirateur).
Pendant ce temps, on s'attache à découvrir et à traiter la cause de la détresse aiguë (décompensation). le plus souvent, on trouve un fond d'insuffisance respiratoire chronique, aggravé par une infection ou un trouble cardiaque.
On prélève en particulier du sang directement dans les artères (ce qui est un peu douloureux), pour connaitre la composition du sang juste après son passage dans les poumons : contient-il suffisamment d'oxygène, pas trop de gaz carbonique? quel est son pH (acide ou basique), son taux de bicarbonate, etc..
Mots clés :
- Conduite à tenir devant une embolie pulmonaire
- CAT devant une embolie pulmonaire
- Rôle infirmier devant l'embolie pulmonaire
- Prise en charge de l'embolie pulmonaire
- Soins infirmiers pour l'embolie pulmonaire
- Comment soigner une embolie pulmonaire
- Comment traiter une embolie pulmonaire
- Comment détecter une embolie pulmonaire
- Comment reconnaitre une embolie pulmonaire
Médical auzou
Parfois, pour assurer une meilleure oxygénation du sang, on oblige le sujet à respirer sous pression, par la bouche, à l'aide d'un respirateur spécial.
Ce n'est généralement possible que dans une structure hospitalière ou en service de réanimation.
Au stade supérieur, il faut le faire respirer avec un ventilateur artificiel, parfois, une sonde doit être mise en place dans la trachée (intubation endotrachéale).
Ces techniques utilisables grâce à des respirateurs de plus en plus performants, sont cependant retardées autant que faire se peut par le médecin car le patient devient très vite dépendant de la machine (respirateur).
Pendant ce temps, on s'attache à découvrir et à traiter la cause de la détresse aiguë (décompensation). le plus souvent, on trouve un fond d'insuffisance respiratoire chronique, aggravé par une infection ou un trouble cardiaque.
traitement de l'embolie pulmonaire
Les anticoagulants ou d'autres traitements permettront d'éliminer ce "facteur déclenchant", avant de rendre au malade son autonomie.Les examens biologique et radiologique
La surveillance de l'évolution de la maladie fait appel à l'examen du patient (observation, auscultation, etc.), mais aussi à des radiographies pulmonaires et à diverses prises du sang.On prélève en particulier du sang directement dans les artères (ce qui est un peu douloureux), pour connaitre la composition du sang juste après son passage dans les poumons : contient-il suffisamment d'oxygène, pas trop de gaz carbonique? quel est son pH (acide ou basique), son taux de bicarbonate, etc..
La surveillance médical
Des appareils sophistiqués permettent de mesurer l'oxymétrie du pouls (la teneur en oxygène du sang), sans faire de prise de sang, donc sans douleur, en général, l'activité cardiaque est également surveillée en continu grâce à un électrocardioscope.Mots clés :
- Conduite à tenir devant une embolie pulmonaire
- CAT devant une embolie pulmonaire
- Rôle infirmier devant l'embolie pulmonaire
- Prise en charge de l'embolie pulmonaire
- Soins infirmiers pour l'embolie pulmonaire
- Comment soigner une embolie pulmonaire
- Comment traiter une embolie pulmonaire
- Comment détecter une embolie pulmonaire
- Comment reconnaitre une embolie pulmonaire
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